Bahar Kocabey
Née
en 1995 à Romilly-sur-Seine.
Travaille à Paris et Urzy.
Formation(s) :
DNA avec les félicitations du jury, 2018
Sa pratique plastique est centrée sur le portrait et le motif à travers le dessin, la peinture et la céramique. Ces médiums lui permettent d’évoquer un événement / une narration qui pourrait atteindre l’autre et qui ne resterait pas seulement sur la notion de l’autoportrait. Ils lui permettent aussi de mettre en valeur une culture qui est encore pensée comme subalterne à d’autres cultures. Ses pièces s’élaborent par assemblage, superposition ou substitution dans le but de créer une narration idyllique. Cependant, la disposition de celles-ci recrée des installations uniques et propose de nouvelles lectures tout en restant dans la même thématique.

Qeysiyan ji kulîlka min est la traduction du kurde : Les abricots de ma fleur.
Aujourd’hui, au Bakur, le Kurdistan turc, l’abricot est devenu un symbole économique via l’agriculture d’abricotier dans la région de Meletî - Elazîz. La plupart des Kurdes habitants dans cette région, ont comme moyen de survie l’agriculture d’abricotier pour surpasser le mépris de l’existence du peuple kurde. Le fruit est devenu une lutte d’existence contre la destruction de l’identité et du paysage kurde.
Aujourd’hui, au Bakur, le Kurdistan turc, l’abricot est devenu un symbole économique via l’agriculture d’abricotier dans la région de Meletî - Elazîz. La plupart des Kurdes habitants dans cette région, ont comme moyen de survie l’agriculture d’abricotier pour surpasser le mépris de l’existence du peuple kurde. Le fruit est devenu une lutte d’existence contre la destruction de l’identité et du paysage kurde.
Événement lié :
Vivace & Troppo - le verre à l'état libre - Bourges ( 2020 )