Arnaud Adami
Né
en 1995.
Travaille à Paris.
Arnaud Adami s’intéresse au travail et aux travailleurs.
Ses peintures exposées à l'occasion d'Une classe ne se tient pas sage toute seule entrent dans deux genres picturaux : le portrait et la nature morte.
Ses peintures exposées à l'occasion d'Une classe ne se tient pas sage toute seule entrent dans deux genres picturaux : le portrait et la nature morte.

Ces peintures d'Arnaud Adami entrent dans deux genres picturaux : le portrait et la nature morte.
Les portraits de travailleurs peints par Arnaud Adami nous donnent accès à une sphère quasi-intime. Ainsi, à l’opposé d’une redite d’une sorte de réalisme socialiste qui viserait à glorifier le travail et identifierait les travailleurs à leur travail, les portraits peints par Arnaud Adami nous montrent des individus qui pourraient tout à fait être reconnus par leurs proches. Seulement nous, nous ne les connaissons pas. Et les seuls éléments visuels auxquels nous pouvons nous raccrocher pour comprendre ces portraits ce sont les couleurs et le logo de l’entreprise pour laquelle ils travaillent. En l’occurrence : Deliveroo, entreprise phare de l’économie dite « ubérisée ».
Et c’est alors une lecture sociologique de ces peintures qui se propose à nous. L’omniprésence des couleurs de l’entreprise rend saisissant le paradoxe de cette forme de travail où il est désormais possible pour une entreprise de faire porter un uniforme à un travailleur sans en être légalement l’employeur.
Les portraits de travailleurs peints par Arnaud Adami nous donnent accès à une sphère quasi-intime. Ainsi, à l’opposé d’une redite d’une sorte de réalisme socialiste qui viserait à glorifier le travail et identifierait les travailleurs à leur travail, les portraits peints par Arnaud Adami nous montrent des individus qui pourraient tout à fait être reconnus par leurs proches. Seulement nous, nous ne les connaissons pas. Et les seuls éléments visuels auxquels nous pouvons nous raccrocher pour comprendre ces portraits ce sont les couleurs et le logo de l’entreprise pour laquelle ils travaillent. En l’occurrence : Deliveroo, entreprise phare de l’économie dite « ubérisée ».
Et c’est alors une lecture sociologique de ces peintures qui se propose à nous. L’omniprésence des couleurs de l’entreprise rend saisissant le paradoxe de cette forme de travail où il est désormais possible pour une entreprise de faire porter un uniforme à un travailleur sans en être légalement l’employeur.
Événement lié :
Une classe ne se tient pas sage toute seule ( 2020 )
Ces peintures d'Arnaud Adami entrent dans deux genres picturaux : le portrait et la nature morte.
Les portraits de travailleurs peints par Arnaud Adami nous donnent accès à une sphère quasi-intime. Ainsi, à l’opposé d’une redite d’une sorte de réalisme socialiste qui viserait à glorifier le travail et identifierait les travailleurs à leur travail, les portraits peints par Arnaud Adami nous montrent des individus qui pourraient tout à fait être reconnus par leurs proches. Seulement nous, nous ne les connaissons pas. Et les seuls éléments visuels auxquels nous pouvons nous raccrocher pour comprendre ces portraits ce sont les couleurs et le logo de l’entreprise pour laquelle ils travaillent. En l’occurrence : Deliveroo, entreprise phare de l’économie dite « ubérisée ».
Et c’est alors une lecture sociologique de ces peintures qui se propose à nous. L’omniprésence des couleurs de l’entreprise rend saisissant le paradoxe de cette forme de travail où il est désormais possible pour une entreprise de faire porter un uniforme à un travailleur sans en être légalement l’employeur.
Les portraits de travailleurs peints par Arnaud Adami nous donnent accès à une sphère quasi-intime. Ainsi, à l’opposé d’une redite d’une sorte de réalisme socialiste qui viserait à glorifier le travail et identifierait les travailleurs à leur travail, les portraits peints par Arnaud Adami nous montrent des individus qui pourraient tout à fait être reconnus par leurs proches. Seulement nous, nous ne les connaissons pas. Et les seuls éléments visuels auxquels nous pouvons nous raccrocher pour comprendre ces portraits ce sont les couleurs et le logo de l’entreprise pour laquelle ils travaillent. En l’occurrence : Deliveroo, entreprise phare de l’économie dite « ubérisée ».
Et c’est alors une lecture sociologique de ces peintures qui se propose à nous. L’omniprésence des couleurs de l’entreprise rend saisissant le paradoxe de cette forme de travail où il est désormais possible pour une entreprise de faire porter un uniforme à un travailleur sans en être légalement l’employeur.
Événement lié :
Une classe ne se tient pas sage toute seule ( 2020 )
Ces peintures d'Arnaud Adami entrent dans deux genres picturaux : le portrait et la nature morte.
Les portraits de travailleurs peints par Arnaud Adami nous donnent accès à une sphère quasi-intime. Ainsi, à l’opposé d’une redite d’une sorte de réalisme socialiste qui viserait à glorifier le travail et identifierait les travailleurs à leur travail, les portraits peints par Arnaud Adami nous montrent des individus qui pourraient tout à fait être reconnus par leurs proches. Seulement nous, nous ne les connaissons pas. Et les seuls éléments visuels auxquels nous pouvons nous raccrocher pour comprendre ces portraits ce sont les couleurs et le logo de l’entreprise pour laquelle ils travaillent. En l’occurrence : Deliveroo, entreprise phare de l’économie dite « ubérisée ».
Et c’est alors une lecture sociologique de ces peintures qui se propose à nous. L’omniprésence des couleurs de l’entreprise rend saisissant le paradoxe de cette forme de travail où il est désormais possible pour une entreprise de faire porter un uniforme à un travailleur sans en être légalement l’employeur.
Les portraits de travailleurs peints par Arnaud Adami nous donnent accès à une sphère quasi-intime. Ainsi, à l’opposé d’une redite d’une sorte de réalisme socialiste qui viserait à glorifier le travail et identifierait les travailleurs à leur travail, les portraits peints par Arnaud Adami nous montrent des individus qui pourraient tout à fait être reconnus par leurs proches. Seulement nous, nous ne les connaissons pas. Et les seuls éléments visuels auxquels nous pouvons nous raccrocher pour comprendre ces portraits ce sont les couleurs et le logo de l’entreprise pour laquelle ils travaillent. En l’occurrence : Deliveroo, entreprise phare de l’économie dite « ubérisée ».
Et c’est alors une lecture sociologique de ces peintures qui se propose à nous. L’omniprésence des couleurs de l’entreprise rend saisissant le paradoxe de cette forme de travail où il est désormais possible pour une entreprise de faire porter un uniforme à un travailleur sans en être légalement l’employeur.
Événement lié :
Une classe ne se tient pas sage toute seule ( 2020 )